Dans une détox, on insiste bien sûr sur la détoxification des organes d’élimination (les émonctoires comme foie en premier lieu), on stimulera le foie, on diminuera les aliments gras, on se concentrera sur des aliments légers. Mais en amont, on oublie souvent qu’il faut prendre quelques précautions. En effet, nous vivons dans un environnement très pollué. Nous n’en avons pas forcément conscience, vu que cela ne nous amène pas à consulter en urgence quand nous y sommes confronté.
Cependant, c’est l’accumulation de produits toxiques dans nos tissus qui peu à peu, peut entrainer certaines maladies chroniques. Ils s’accumulent dans les tissus adipeux, le cerveau parfois ou même le foie entravant ainsi les processus d’élimination même. Nous sommes bombardés d’informations à ce sujet-là, et nous ne savons plus où donner de la tête.
Les discours sont alarmistes et on se dit que finalement de toute façon, à quoi bon, on ne peut rien y faire !
Oui sauf que …..
On ne doit pas tout abandonner
car
On peut faire diminuer de façon significative certains polluants de notre environnement : encore faut-il savoir quels gestes adopter et comment !
Les informations sont nombreuses et parfois contradictoires. Alors déjà, comment sommes nous mis en contact avec ces toxines ?
Il faut donc porter son attention sur différents pôles pour pouvoir éliminer de notre environnement ce que nous pouvons éliminer, pour moins se soucier des choses que l’on ne peut pas maitriser.
Sur quoi pouvez-vous agir ?
Au niveau de ce que vous avalez, il y a différentes façons de veiller à cela :
Et plus généralement : où peut-on intervenir ?
Sources
Lu, Chensheng, et al. « Organic diets significantly lower children’s dietary exposure to organophosphorus pesticides. » Environmental health perspectives